Par un arrêt du 14 mai 2013, la Cour d’appel de Toulouse a confirmé la condamnation de la société Ginkgo pour avoir diffusé une publicité comparative illicite.
La Cour a considéré qu’une « telle présentation approximative dans un contexte de présentation des résultats d’une étude de type statistique [était] de nature à induire en erreur le consommateur moyen », et qu’il s’agissait donc d’une publicité comparative illégale.
L’appelante n’étant pas en mesure de démontrer son préjudice, la Cour a confirmé la condamnation de la société Ginkgo à un euro symbolique en réparation du trouble commercial s’inférant nécessairement des actes de concurrence déloyale commis par cette dernière.