Dans son communiqué du 20 juin 2013, la DGCCRF a indiqué avoir mené une large enquête chez les responsables de la première mise sur le marché des objets en bois et en bambou (tels que notamment les fabricants, transformateurs, importateurs, etc.) et chez les distributeurs (vendeurs d’ustensiles de cuisine, jardineries, etc.) afin de contrôler l’aptitude de ces objets au contact alimentaire.
La DGCCRF a relevé des manquements sur l’étiquetage de ces objets, qui était absent ou incomplet, et a constaté que, s’agissant de l’aptitude au contact alimentaire, seuls les objets en bambou présentaient un taux d’anomalie de 13,8%.
Sur 165 établissements contrôlés, elle a adressé au final 25 avertissements.